Ce roman, publié au plus fort de l'affaire Dreyfus, à la veille du procès d'Alfred Dreyfus à Rennes, résulte d'un bricolage de textes conçus indépendamment les uns des autres, à des époques différentes, en des styles différents et avec des personnages différents. On trouve tout d'abord des articles sur la loi du meurtre: ils constituent le Frontispice du roman, qui présente une discussion d'après-boire entre intellectuels positivistes.